J'aimerais avoir vos avis pour ma rédaction de français, il fallait faire un récit d'exploration et ... ça tourne en autre chose que ce que c'est censé être x3 M'enfin, bonne lecture ^^
[quote]17 Octobre 1686 Journal de bord de Natsu Ushiromia
Capitaine de l'Aigle
Départ et 1er jour de navigation:
Aujourd'hui, les conditions météorologiques sont idéales pour notre commencer notre voyage : soleil au beau fixe et petite brise légère, même si certains membres de l'équipage de l'Aigle pensent que les quelques nuages que l'ont aperçois a l'horizon annoncent une tempête, je suis certaine que si une tempête éclate, elle sera sans gravité et resteras au port quand nous naviguerons vers les îles du Pacifique, même si tous mes marins pensent le contraire, sous prétexte que les cris des goélands ressemblaient à des pleurs alors que nous sommes sur le point de partir. Je ne crois pas à ses superstitions, et pendant que nous filons loin du port de Cadix et mettons le cap sur l'Afrique, je suis sûre que le voyage vas bien se passer.
18 Octobre 1686 : 2ème jour de navigation
Même temps que la veille, mais même si les nuages sont plus menaçant, je refuse de croire en l'ouragan gigantesque que les marins prévoient. Nous avons passé l'équateur, et nous nous dirigions à une vitesse incroyable vers le Cap de Bonne Espérance en longeant les côtes, et nous devrions l'atteindre dans trois jours au mieux.
19 & 20 Octobre 1686 : 3ème et 4ème jour de navigation
Les nuages sont de plus en plus nombreux et sombres, comme les cris -ou plutôt les pleurs- des goélands ... Peut-être que mon équipage avait raison ? Nous atteindrons le Cap demain.
21 Octobre 1686 : 5ème jour de navigation
Nous avons franchi le Cap de Bonne Espérance. Les nuages sont toujours là, et les pleurs des goélands sont encore plus sinistre. Malheureusement, j'avais tord pour la tempête, elle sera violente et éclatera dans les jours à venir. L'équipage insiste pour rentrer à terre avant la tempête, mais je refuse car l'Aigle est conçu pour affronter les pires intempéries et ne demande qu'à faire ses preuves.
22 Octobre 1686 : 6ème jour de navigation
J'avais tord, entièrement tord ! La tempête fut d'une force incroyable et nous nous sommes échoués sur une île après avoir perdu la moitié de nos effectifs ! Mais, par chance, quelques vivres ont été rejetés sur la plage où nous nous sommes abrités.
23 Octobre 1686 : 1er jour sur l'île
Après cette nuit effroyable, le ciel est lavé, d'un azur pur, sans aucune trace de nuage. Nous commençons à explorer l'île et découvrons une portion de forêt poussenta profusion des arbres dont les fruits sont délicieux, il n'y a pas confitures plus douce en Europe . Et, entre ces arbres, circule un ruisseau d'eau douce ! Dans cette même forêt, une diversité incroyable d'oiseaux et d'animaux de toute sorte se côtoient en harmonie . Après ces merveilleuses découvertes, nous sommes retournés sur la plage pour voir si d'autres objets utiles s'étaient échoués mais il n'y avait rien de nouveau, à part une sorte de poisson mauve aux nageoires noires, dont le corps est strié de bandes dorées, qui possède des dents comme celles des requins et dons la chair est délicieuse... Un marin aux origine espagnoles appèle cette île « Isla de la Muerte », je ne pense pas que ce nom soit approprié pour l'île où nous avons échoué, mais qui sait ?
24 Octobre 1686, 2ème jour sur l'île
Très beau temps, température douce. Ce matin, en nous réveillant, nous avons eu une autre mauvaise surprise . En effet, six membres de l'équipage avaient disparus. Nous les avons très vite retrouvés, ils étaient derrière les rochers qui séparaient la plage de la forêt, et la moitié droite de leurs visages était arrachées ! Cela ne pouvait pas être l'œuvre, d'un ara, d'un porc-épique ou d'un lémurien, ni d'aucune autre créature animale qui peuplait l'île, ce qui dégage deux possibilité : soit ce crime est l'œuvre d'un peuple de l'île et nous pourrions négocier nos vies, soit c'est un être infiniment plus brutal et dangereux... Après avoir enterrés les corps, nous sommes retournés explorer l'île. Nous avons recensé une trentaine d'espèce de serpents, dont une très dangereuse qui étouffe ses proies en s'enroulant autour de leurs cous. Nous avons ensuite trouver une grotte. Sur la paroi de cette grotte, des signes étranges étaient gravés. L'un des membres de mon équipage, le docteur en langues Rudolf Krauss a pu nous les traduire et cela donne à peu près ceci :
« Six au premier
Trois au second
Deux pour le troisième qui n'est pas le dernier
Cinq par la bête aux yeux vairons
Trois encore seront sacrifiés
Et ceux qui resteront périront
Pour que s'ouvre le passage
Vers la terre dont nous rêvons »
A côté, un étrange symbole était tracé, a l'intérieur duquel des runes étaient gravées, mais le Docteur Krauss ne connaissait pas la langue dans lesquels ils avaient été rédigés.
25 Octobre 1686 : 3ème jour sur l'île
Aujourd'hui, il pleut, la température reste douce. Comme prévu par le texte, trois marins ont été assassinés, dont le Docteur Krauss, et ce malgré les tours de garde. Quel mystère cache ces meurtres ? Qui est cette « bête aux yeux vairons » ? Nous avons approfondit l'exploration de l'île, et nous n'avons pas trouvé âme qui vive, ni dans la lagune, ni sur la colline, ni dans la forêt, et, il n'y a pas d'autres îles à l'horizon. Pourtant nous avons parcouru toute l'île, qui fait bien une vingtaine de lieues... Un climat d'angoisse s'installe au sein de l'équipage.
26 Octobre 1686, 4ème jour sur l'île
Beau temps, température légèrement plus basse que la veille. Sept hommes sans vies ont été retrouvés ce matin. Deux avaient été démembrés et les cinq autres avaient été éventrés... Tout le monde est à bout de nerfs, les disputes éclatent. Nous n'avons plus longtemps à vivre... Demain, je mettrai les pages de ce journal dans une bouteille que je mettrai à l'eau, comme cela, avec beaucoup de chance, quelqu'un connaîtra notre histoire...
27 Octobre 1686, 5ème jour sur l'île
Beau temps, température douce. Trois cadavres ont encore été retrouvés. Ils avaient été découpés en morceaux, et leurs entrailles ont été utilisées en tant que guirlandes et sont accrochées dans les arbres. Nous sommes restés regroupés sûr la plage.
28 Octobre 1686, 6ème jour sur l'île
Beau temps, température douce, moral au plus bas...
Ce matin, j'étais seule. Le camp était entièrement désert. J'ai eu l'explication de ce phénomène plus tard dans la journée : les corps de mon équipage furent rejetés sur la plage, les visages en lambeaux. Je devrais être la prochaine à mourir. Si vous lisez ceci, souvenez vous de l'Aigle et de son équipage exterminé, qui n'as jamais atteint l'Australie ...
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