Harcèlement à l' école

[Benjamin]

Il l'a prouvé en répondant à toutes les questions en rapport avec la classe qu'on lui posait. Pour l'IP apparemment il faut que les gendarmes dépose une commission rogatoire au commissariat (dixit la fille de ma classe qui a porté plainte) donc c'est pas si rapide que ça, et notre conseil de classe c'était hier soir, donc il/elle peut très bien s'arranger pour arrêter les cours... :3

[Kirito]

Certes, mais c'est pas en arrêtant les cours qu'il va se protéger de l'enquête de la gendarmerie. Il/elle est donc foutu(e).

[Benjamin]

Oui mais cette amie déménage, et je pense qu'une confrontation avec cette personne est obligatoire, pour elle, comme pour moi, et les autres personnes insultés.

[Flandress]

Quel histoire!
En espèrant que cette personne soit démasquée!
Informe-nous de l'avancement de l'enquête!

[Kirito]

Ben à la confrontation, ce sera l'occasion idéale pour obtenir une réponse à "pourquoi faire ça ?". Car si les raisons sont extrêmement débiles, crois-moi, ça va aggraver le cas du coupable.

[Flandress]

C'est vrai!
Mais, demande-toi qui dans ta classe pourrait en vouloir à ton amie.

[Benjamin]

C'est très compliqué, à un moment j'ai suspecté une fille qui s'est avérée être innocente mais qui faisait la parfaite coupable car elle était pas très stable *je me comprends*, sauf que la CPE m'a suivi et comme elle s'est sentie trahie elle n'est plus venue en cours pendant trois jours. Comme dirait la CPE : "Votre classe, c'est Despereate Housewives : tout le monde a une tête toute mignonne d'ange, et en fait il y a un fou parmi vous."
Ensuite, les raisons de cette personne ne sont pas forcément débile, elle a dit vouloir que deux de mes amis (donc la fille insultée) ne se parle plus, et ça a commencé le lendemain ou le garçon qui ne doit plus parler à la fille par le corbeau a dit a une fille qu'il l'aimait.
Donc j'imagine que quelqu'un de fragile, qui aime ce garçon et est jalouse, et a d'autre problèmes qui se sont enchaînés a très bien pus faire ça en étant insoupçonnable, même si ça ne l'excuse en RIEN DU TOUT.

EDIT : Au conseil de classe, la mère de Juliette qui est parent d'élève a fait circulé cet article, paru dans le journal Lunion :
[quote]
AISNE. Une vaste opération des gendarmes d'internet a permis de débusquer des habitués de sites à caractère pédophiles. Qui sont ces usagers ?

EN fin de semaine dernière, une opération d'envergure s'est conclue avec l'arrestation d'une centaine de pédophiles présumés dans toute la France (lire ci-contre). Quatre d'entre eux résidaient dans l'Aisne (l'union d'hier).
D'après nos informations, les gendarmes ont, notamment, interpellé deux Sud-Axonais. L'un était âgé d'une trentaine d'années et résidait à Crouttes[j'enlève le nom entier ], l'autre était un quadragénaire habitant à Brasles, à côté de Château-Thierry. Un autre internaute résidant à Saint-Quentin faisait également partie des « visiteurs » de sites diffusant des images d'enfants, parfois très jeunes, dans des positions lascives.
Ces hommes manifestaient une fascination pour des images extrêmement choquantes. Est-ce pour autant qu'il s'agissait de personnes allant passer à l'acte ? D'après les nombreuses affaires que traite la Justice axonaise chaque année, le lien entre image de pornographie infantile et passage à l'acte n'est pas systématique. Les profils des « aficionados » de ces images interdites peuvent être assez variés.

Du « curieux » au « stimulé »

Généralement, plusieurs catégories d'amateurs d'images pédopornographiques se distinguent. Un rapport de la fondation Scelles - reconnue d'utilité publique depuis 1994 et qui lutte contre l'exploitation sexuelle - en relève trois : le « curieux », le « dérivatif » et le « stimulé ».
Le « curieux » est souvent un internaute, qui, en cherchant des sites de pornographie adulte, finit par tomber sur des sites pédophiles. « Peu conscients de la situation, ils se « laissent faire » en allant jusqu'au bout de leur visite », note le rapport de la fondation. Ce type de consommateur n'est pas nécessairement un pédophile passant à l'acte.
Le consommateur « dérivatif » est plutôt une personne qui, par peur de la punition ou de la pression sociale, se limite à visiter les sites afin d'éviter le passage à l'acte. Le « dérivatif » ne tient pas compte du fait que son acte entretient la production d'images pédophiles et donc l'exploitation sexuelle des mineurs.
La dernière catégorie, le « stimulé », est celle qui inquiète le plus. Il s'agit d'internautes conscients de leur attirance sexuelle pour les enfants et sont déjà passés à l'acte ou sont sur le point de le faire. Ils visitent donc les sites de pornographie infantile dans le but d'alimenter leurs fantasmes.
Relevons toutefois qu'une large majorité des affaires traitées récemment par les tribunaux axonais semble relever des deux premières catégories. Par exemple, deux détenteurs de fichiers mettant en scène des mineurs ont défilé à la barre du tribunal de Soissons cette année (l'union des 10 janvier et 3 avril 2012). Le premier est célibataire et sans enfant.
Vivant chez ses parents, ce grand jeune homme à l'air emprunté, à la voix douce et faible, a expliqué aux juges qu'il cherchait à se faire soigner par tous les moyens possibles car il pensait qu'il en viendrait à faire un jour une grosse bêtise. Le second est un Soissonnais de 26 ans, à l'allure de monsieur Tout-le-monde, qui collectionnait les clichés de mineurs depuis deux ans et demi. Il peinait à expliquer la présence des images sur son ordinateur.[/quote]
Crouttes ? Ou l'endroit ou habite mon amie et Juliette...

[Kirito]

Pour moi, c'est une raison suffisamment débile. Pour en venir à des menaces de mort, j'entends. Car les insultes, à la limite, jusque là, je comprends.

[Benjamin]

Pour moi, cette raison n'est pas débile étant donné que je pense que cette personne a des troubles psychologiques, donc ce n'est pas débile, ça a peut-être commencé sur un coup de tête et elle s'est enfoncée dans cette histoire et ça a empiré... Tu ne vas pas menacer quelqu'un de mort sans des raisons, qui sont, pour toi juste.

[Kirito]

Si cette personne a des troubles psychologiques, je pense que ça peut expliquer un tel comportement. Cependant, dans le cas contraire, je n'ai rien à ajouter à ce que j'ai dit avant.