par Kai Kratos-Nepaliath » 23 Sep 2012, 12:26
Je viens de voir ce topic...Je m'incruste.
Temoignage perso: il m'est arrivé une fois de finir VRAIMENT raide bourré, et plusieurs de terminer pompette, voire un peu plus mais il faut savoir deux choses :
1) je ne suis pas un habitué, et ne combine jamais alcool et herbe (pour la simple et bonne raison que je ne touche pas à ce genre de trucs)
2) ça ne m'est arrivé que dans des soirées ou je savais que je n'aurais pas a me déplacer ensuite (donc quand je dormais chez l'invitant)
Quoi qu'on en dise, je pense que la consommation d'alcool chez les jeunes peut etre aussi bien un danger important qu'une excellente prévention. Personnellement, j'ai appris qu'il ne fallait pas dépasser le jour ou j'ai fini dans un état des plus déplorables. Avant, l'alcool, je pensais ça '''cool'', que ça faisait "grand"...Bref, j'étais comme tous les petits jeunes d'une quinzaine d'années. Le lendemain matin, quand j'ai compris ce qu'on appelait une vraie gueule de bois, et que le mal-etre de la soirée précédente s'était dissipé, ça m'a, allez savoir pourquoi, calmé.
Autrement dit, je me suis involontairement auto vaccinné contre le biture sauvage. Et contre le Get27, soit dit en passant. Boire du dentifrice alcoolisé toute la soirée, ça calme.
Apres, il y a un facteur a prendre en compte : la résistance à l'alcool. Je me souviens parfaitement du début de soirée ou certains, apres un verre, étaient déja dans un drole d'état. Une cuite digne de ce nom, ça aide a connaitre ses limites. Maintenant, une bière de temps en temps, je dis pas, voire entre potes un coup un peu plus fort, mais, comme je l'ai déja dit, uniquement si aucun déplacement n'est prévu ensuite (excepté le légendaire salon --> toilettes apres un certain nombre de bières) et uniquement si l'on est certain de ne pas finir mal. Ce n'est pas par vantardise que je le dis, mais je ne crains pas vraiment les alcools forts, surtout si le repas précédant l'absorption d'alcool a été correct au niveau quantité, c'est bien connu, mieux on mange, mieux on tient. Ainsi, si dans une soirée quelqu'un me propose un coup a boire (surtout pas en boite, et uniquement si cette personne fait partie de mes potes), je ne refuserais pas si j'ai bien mangé. Mais si je suis a jeun...Surtout pas.
Ceux qui pensent que trop boire,c'est se mettre en danger, ont raison. Savoir s'arréter au troisieme ou quatrieme verre (je parle d'alcools moyennement forts, du genre 20-25 degrés) est primordial quand on ne connait pas ses limites, et que le repas a été copieux avant. Mais je suis de ceux qui pensent que faire une première expérience de la cuite brutale est un excellent moyen de se rendre compte du probleme de l'alcool. Bon, après, trois bières et je suis completement bourré, un demi-litre de vodka, ça passe encore meme si je rigole pour n'importe quoi...le probleme du contrecoup n'est toujours pas réglé pour le lendemain matin, mais il faut savoir que les boissons alcoolisées gazeuses passent plus vite dans le sang que les boissons alcoolisées "plates". C'est pourquoi je redoute plus la soupe de champagne (qui, entre nous, me file autant envie de vomir qu'elle me monte au crane) que le whisky. Chacun a ses caractéristiques, je n'avancerais donc pas non plus d'autres quantités que celle donnée ci-dessus, qui, en général, reste suffisante pour envoyer pompette un individu d'une quinzaine d'années.
En synthèse, ma pensée est la suivante :
Sobre = Bon plan de le rester
Pompette = Stade à ne pas dépasser, meme si etre sobre reste tout de même la meilleure option
bourré = La, t'as fait l'c*n mon coco...
Cuité = Tu comprends pourquoi l'alcool n'est pas bon, et si c'est pas contrôlé, a moins que tes potes soient de ceux qui t'encouragent à recommencer, tu peux te promettre de pas le refaire.
Le vallhol est mon domaine
Les ames des guerrieres vaincus
meurent le jour dans mon arène
et ressucitent la nuit venue