par Sentry » 19 Fév 2011, 10:55
Noémie, j'accepte pour la faute d'orthographe. Je suis pas sur le bon pc, et comme j'ais du mal avec les minis pc, enfin c'est pas une raison.
Pour te répondre, certes il y a un moment qu'elle a pas était utilisé mais elle fut utilisé pour des personnes ayant commis de grave délits:
-Paul Touvier, coupable de crime contre l'humanité, condamné à mort, fugitif, est gracié par le président Georges Pompidou, le 23 novembre 1971.
-Omar Raddad condamné en 1994 pour meurtre a bénéficié de la grâce présidentielle en 1998
-Jean-Charles Marchiani, ancien préfet du Var condamné en 2007 à trois ans de prison pour corruption et incarcéré en 2008, a bénéficié d'une grâce partielle la même année.
Maintenant il est vrai que désormais elle n'est pas appliqué pour les condamnations pour terrorisme, trafic de stupéfiants, crimes et délits contre un mineur de 15 ans, délits financiers, violences contre les forces de l'ordre, infractions routières et actes racistes. Ils ont été exclues de la grâce présidentielle, au gré des affaires qui ont choqué l'opinion, selon un message que voulait faire passer le président alors en fonction.
Moi je disais juste qu'on devrait totalement la supprimer quelque soit le délit commis, Nicolas Sarkosy ne la pas utilisé depuis 2008 est tant mieux mais pour moi, elle devrait même pas exister.
Si une erreur judiciaire a était commise, ce n'est pas la grâce qui devrait rendre juste à la personne, mais la justice elle même. ( je crois d'ailleurs que sa s'appel l' amnistie )
Voilà ce que je souhaitais exprimer en parlant de cela.
Maintenant quand tu parles des prisons, tu parles pour ton amie et je peux comprendre. Moi je parle en général, et pour en avoir parlé longuement avec mon père, vue de mes yeux , les détenus ne sont pas tous comme tu le dis, bien au contraire.
Une minorité est surment maltraité, mais il existe des endroits où la prison est un endroit pratiquement géré par les détenus.
Tu peux ne pas accepter ma version, mais j'ais aussi le droit d'avoir cette opinion au vue des prisons que j'ais eu le " loisir " de visiter.