N'empêche qu'il y a un gagnant dans tout ça: les sociétés qui fabriquent des bunkers. Il parait que ça part comme des petits pains en ce moment, surtout aux états-unis. Dans l'émission que j'avais vu, le mec commençait déjà à mettre ses provisions...
Mais bon, en supposant qu'il se passe quelque chose, qu'est ce qu'ils vont faire les survivants (s'il y en a): "Oh, crotte alors, je suis tout seul, tout a été détruit, j'ai plus ma famille ni mes amis... Je vais me suicider." Donc je me dis que ça vaut pas le coup. Comme le disait ma tante, et pour une fois je suis d'accord avec elle, la mort effraie aussi parce qu'on ne veut pas laisser ceux qu'on aime tout seul; son conjoint, ses enfants, ses amis, sa famille... Donc si ça fait BOOM, au moins on se donne tous rendez dans l'au delà et on en profitera pour demander à Voltaire et à Rousseau s'ils ont aimé la blague qu'on leur a faite de les mettre l'un en face de l'autre au Parthénon, parler stratégie militaire avec Alexandre le Grand et Napoléon, et demander à Michael Jackson si c'est son médecin qui l'a tué, et peut être même une sortie en Pub avec Amy Winhouse.
Vous l'aurez sans doute compris: à part rigoler en voyant la panique générale, soigneusement entretenue par nos cher médias, je ne vais pas faire grand chose le 21 décembre.
Fan de Lisbeth. Vive mon personnage préféré!
"L'art nait de contraintes, vit de luttes et meurt de liberté" (André Gide)